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INFORMATICIEN

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19 décembre 2008

YASSINE

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19 décembre 2008

L'histoire info par les dates

L'histoire info par les dates

Voici mes trois grandes parties


  • -10000 : Boules et jetons et écriture   cunéiforme
  • -3400  :  L'écriture ( alphabets, symboles et codage )
  • -3000  : Le binaire ( octogone à trigamme )
  • -1700  : Le code d'Hammourabi
  • -330   : La logique d'Aristote
  • 1000   : Le zéro
  • 1614   : Les logarithmes
  • 1623   : Le binaire avec le code bilitière
  • 1679  : La découverte du binaire
  • 1840 : La boucle de programme
  • 1847 : L'algèbre binaire
  • 1856 : La vitrine de l'effet cathodique
  • 1878 : L'état radiant et le faisceau d'électrons
  • 1887 : L'effet photoélectrique
  • 1904 : La diode
  • 1907 : La triode

  • 1910 : Définition de l'Algèbre Symbolique
  • 1914 : Principes de l'automatisme
  • 1940 : Bletchley Park
  • 1945 : Le BUG
  • 1946 : Le rapport sur l'EDVAC
  • 1947 : L'assembleur / Bibliothèque de sous programmes / Le transistor
  • 1948 : Théories de la cybernétique et de la communication
  • 1949 : Langage évolué primitif / Traduction automatique
  • 1951 : Compilateur A0 / Base de données / Compilation
  • 1957 : Le Fortran / Premier programme d'intelligence artificielle
  • 1959 : Premier langage de l'intelligence artificielle
  • 1960 : Cahier des charges Cobol / Le Perceptron
  • 1963 : Le premier vidéo-disque
  • 1964 : Le Basic
  • 1968 : La logique Si Alors / Le langage Pascal
  • 1970 : Le système d'exploitation Unix
  • 1971 : La reconnaissance vocale
  • 1972 : Le langage C / La progamation en logique
  • 1974 : L'objet structure ( frame )
  • 1975 : Le basic pour ordinateur / Le langage de requête SQL
  • 1976 : Les systèmes AQII et CPM
  • 1977 : La naissance de Microsoft
  • 1978 : Le premier logiciel tableur Visicalc / Le traitement de texte / La loi "Informatique et Liberté"
  • 1979 : La normalisation Cobol ( ADA )
  • 1980 : Le premier programme de base de données ( DBASE II )
  • 1981 : Le premier tableur "grand public" ( LOTUS ) / Le système d'exploitation MS-DOS de Microsoft
  • 1983 : Le langage Turbo-Pascal
  • 1984 : Le graphisme et le traitement de texte conviviaux de Macintosh / Les jeux Nintendo
  • 1985 : L'apparition de Windows pour PC / Le tableur Excel
  • 1986 : Le programme de base de données 4D
  • 1987 : Le système d'exploitation OS/2 / Les normes VGA et bus MCA
  • 1988 : Les épidémies de virus / La législation sur la fraude informatique / La norme bus EISA

  • -1550 : Les premières horloges
  • -1200 : L'observatoire astronomique
  • -500 : Abaques et bouliers
  • -132 : Le sismographe
  • 105 : Le support papier
  • 751 : Importation du papier au Moyen-Orient
  • 1000 : Horloges astronomiques

  • 1200 : La connaissance du papier par les Croisés
  • 1454 : L'imprimerie
  • 1484 : Les tables de multiplication
  • 1623 : La machine à calculer de Schickard

  • 1642 : La machine à calculer de Pascal
  • 1694 : La machine à calculer de Leibnitz
  • 1728 : Les cartes perforées de Falcon
  • 1774 : La machine à calcul de Hahn
  • 1791 : Les tables de différences finies
  • 1820 : L'arithmomètre
  • 1867 : La machine à écrire
  • 1884 : La mécanographie
  • 1914 : L'automatisme
  • 1919 : L'ENIGMA
  • 1930 : L'analyseur différentiel
  • 1937 : Le calculateur binaire "K"
  • 1938 : L'ordinateur "Versuchmodell 1"
  • 1943 : Le MARK I
  • 1946 : Le premier ordinateur ( ENIAC )
  • 1947 : Le transistor / L'EDVAC
  • 1949 : La bande magnétique
  • 1951 : La mémoire tampon / L'UNIVAC / Le Whirlwind
  • 1953 : Le premier ordinateur "accessible" ( L'IBM 650 ) / La mémoire magnétique
  • 1954 : L'imprimante ligne à ligne
  • 1955 : L'ordinateur à transisitor
  • 1956 : Le contrôleur entrée/sortie d'IBM / Le disque dur magnétique
  • 1958 : Le circuit intégré / Le laser
  • 1959 : Transisitors plat et MOS / La mémoire virtuelle de l'Atlas I

  • 1964 : Les superordinateurs CDC 600 et IBM 90
  • 1968 : L'ordinateur à circuits intégrés
  • 1970 : La technologie MOS / La puce mémoire
  • 1971 : L'imprimante à aiguille / Le microprocesseur Intel 4004
  • 1973 : Le disque souple ( Floppy Disc ) / L'intégration des circuits à très grande échelle
  • 1974 : La carte à puce
  • 1975 : L'imprimante Laser
  • 1976 : Les microprocesseurs Z 80 et 6502
  • 1977 : L'Apple II / Le lecteur de cassette vidéo TRS 80
  • 1978 : Le microprocesseur 8086 d'Intel
  • 1979 : Le microprocesseur 98000 de Motorola
  • 1981 : L'IBM PC
  • 1982 : Les clone de COMPAQ / La station de travail SUN
  • 1984 : Macintosh / Disque optique numérique ( CD-ROM )
  • 1985 : Le "80386" d'Intel
  • 1987 : Le PS/2 d'IBM

.

  • 1792 : Le télégraphe optique
  • 1826 : La photographie
  • 1838 : Le télégraphe et le code morse
  • 1876 : Le téléphone
  • 1877 : Le phonographe
  • 1896 : La naissance de la TSF
  • 1925 : La télévision
  • 1929 : Le synthétiseur vocal à bande perforée
  • 1930 : Le décimal codé binaire DCB
  • 1934 : L'analyseur et le synthétiseur d'images
  • 1935 : Le magnétophone
  • 1950 : La reconnaissance vocale
  • 1951 : L'ordinateur à temps réel ( Whirlwind )
  • 1954 : L'orbite géostationnaire
  • 1958 : Le modem Dataphone
  • 1960 : La communication par paquets / Les jeux sur ordinateur
  • 1962 : Le satellite Telstar
  • 1963 : Le crayon optique
  • 1964 : Le code ASCII
  • 1966 : La fibre optique / Le modem Carterphone
  • 1968 : La souris

  • 1969 : Le réseau Arpanet
  • 1971 : Les traitements de textes Lexitron et Wang
  • 1972 : Le réseau Telenet
  • 1974 : La carte à mémoire
  • 1980 : L'annuaire téléphonique / Le vidéo-disque
  • 1981 : Le minitel
  • 1983 : La norme MIDI
  • 1984 : Le disque optique numérique
  • 1985 : L'écran tactile
  • 1986 : Le disque optique numérique interactif
  • 1989 : Explosion des réseaux de communication

19 décembre 2008

L'histoire du disque dur

L'histoire du disque dur

Le premier disque dur a été inventé au début en 1956, sur demande de l'US Air Force, par la firme IBM. Il s'agit du Ramac 305 (Random Access Method of Accounting and Control), un ensemble de 50 disques en aluminium de 61 centimètres de diamètre, tournant à 3600 tours par minute et recouverts d'une fine couche magnétique, permettant de stocker un total de 5 millions de caractères (5 mégaoctets). Ce disque proposait un taux de transfert de 8.8 Ko/s et pesait plus d'une tonne ! Le 10 février 1954 le disque dur baptisé Ramac 305 put lire et écrire successivement des données, ce fût une première dans ce que l'on nomma les périphériques de stockage à accès direct (en anglais Direct Access Storage Devices ou DASD).

En 1962 IBM introduit le modèle 1301 proposant une capacité de 28 Mo avec un taux de transfert et une densité surfacique 10 fois supérieurs à ceux du RAMAC 305 et une distance entre les têtes et la surface du disque passant de 20.32 µm à 6.35 µm.

Ainsi à partir de 1962 plusieurs fabricants commencèrent à commercialiser de tels disques durs.

En 1965 IBM commercialisa le modèle 2310 dont la particularité était de posséder une partie amovible.

Le modèle 2314 commercialisé en 1966 était équipé de têtes de lecture en ferrite (oxyde de fer).

En 1973, IBM lança le Winchester 3340, un disque dur dont la tête de lecture était soulevée par un film d'air d'une épaisseur de seulement 0.43 µm. Sa capacité accrue par rapport au RAMAC ainsi que sa taille et son poids réduits firent de ce disque le nouveau standard de périphérique de stockage à accès direct. C'est sa capacité de 30 Mo qui lui valut le surnom de 30-30 et donc de « Winchester » (le nom de la fameuse carabine 30-30).

Le premier lecteur de disques durs 5 pouces un quart verra le jour en 1980, développée par la firme Seagate.

19 décembre 2008

La naissance de la disquette

La naissance de la disquette

En 1967 le premier lecteur de disquettes « souples » (en anglais floppy disk) est mis au point par IBM.

En août 1976 Shugart annonce le premier lecteur de disquettes 5 pouces 1/4 (5.25 pouces) à un prix de 390 $.

En juin 1982 c'est au tour de Sony de présenter un nouveau format de disquettes : les disquettes 3"1/2 (trois pouces et demi).

19 décembre 2008

La naissance de l'interface SCSI

La naissance de l'interface SCSI

A partir de 1979, la compagnie Shugart Associates, fondée par Alan F. Shugart (un ancien chef de produit de la firme IBM), met au point une connexion parallèle permettant de connecter des disques durs à des ordinateurs de type PC et nomme cette technologie SASI (Shugart Associates Standard Interface). Cette interface deviendra le SCSI en 1982 et sera standardisée par l'ANSI (American National Standards Institute) en 1986.

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18 décembre 2008

Ordinateur - Histoire

Histoire de l'informatique

L'histoire de l'ordinateur nous provient du fait que l'homme, par nature paresseux, a toujours cherché à améliorer sa façon de calculer, afin de limiter ses erreurs et pour économiser de son temps.

A l'origine : le boulier

Le boulier, appelé aussi « abaque », a été inventé en l'an 700 ; il fut longtemps utilisé et l'est encore aujourd'hui dans certains pays.

Puis vint le logarithme

On attribue généralement l'invention du logarithme à l'écossais John NEPER (1550-1617, parfois orthographié NAPIER). En effet en 1614 celui-ci démontra que la multiplication et la division pouvaient se ramener à une série d'additions. Ceci permit dès 1620 l'utilisation de la règle à calcul.

Pour autant le vrai père de la théorie des logarithmes est « Mohamed Ybn Moussa Al-KHAWAREZMI », un savant arabe issu de la ville persane appelée « Khawarezm ». Ce savant développa par ailleurs l'Algèbre, terme provenant de l'arabe « Al-Jabr », qui signifie compensation, sous-entendu « la compensation par la recherche de la variable inconnue X afin d'équilibrer les résultats des calculs ».

Les premières machines à calculer

En 1623, William Schickard inventa la première machine à calculer mécanique.
En 1642, Blaise Pascal créa la machine d'arithmétique (baptisée Pascaline), une machine capable d'effectuer des additions et soustractions, destinée à aider son père, un percepteur de taxes.
En 1673, Gottfried Wilhelm Von Leibniz ajouta à la Pascaline la multiplication et la division.
En 1834, Charles Babbage invente la machine à différence, qui permet d'évaluer des fonctions.
Cependant il apprend qu'une machine à tisser (métier à tisser Jacquard) est programmée à l'aide de cartes perforées, il se lance donc dans la construction d'une machine à calculer exploitant cette idée révolutionnaire.

C'est en 1820 qu'apparaissent les premiers calculateurs mécaniques à quatre fonctions :

  • addition
  • soustraction
  • multiplication
  • division

Ceux-ci sont rapidement (1885) agrémentés de clavier pour saisir les données. Des moteurs électriques viennent rapidement supplanter les manivelles.

Les ordinateurs programmables

En 1938, Konrad Zuse invente un ordinateur qui fonctionne grâce à des relais électromécaniques : le Z3. Cet ordinateur est le premier à utiliser le binaire au lieu du décimal.
En 1937, Howard Aiken met au point un ordinateur programmable mesurant 17 m de long et 2.5 mètres de hauteur, permettant de calculer 5 fois plus vite que l'homme :
C'est le Mark I d'IBM.
Il est alors constitué de 3300 engrenages, 1400 commutateurs reliés par 800 km de fil électrique.

En 1947, le Mark II voit le jour, ses engrenages sont remplacés par des composants électroniques.

Les ordinateurs à lampes

En 1942, l'ABC (Atanasoff Berry Computer) du nom de ses concepteurs J.V. Atanasoff et C.Berry voit le jour.

En 1943, le premier ordinateur ne comportant plus de pièces mécaniques est créé grâce à J.Mauchly et J.Presper Eckert : l'ENIAC (Electronic Numerical Integrator And Computer). Il est composé de 18000 lampes à vide, et occupe une place de 1500 m2. Il fut utilisé pour des calculs ayant servi à mettre au point la bombe H.
Son principal inconvénient était sa programmation :
l'ENIAC était en effet uniquement programmable manuellement avec des commutateurs ou des câbles à enficher.

La première erreur informatique est due à un insecte qui, attiré par la chaleur, était venu se loger dans les lampes et avait créé un court-circuit. Ainsi le terme anglais pour « insecte » étant « bug », le nom est resté pour désigner une erreur informatique. Le terme bug a été francisé par la suite en bogue, terme désignant également le nom de l'enveloppe épineuse et piquante de la châtaigne.

En effet, les tubes étant de médiocres conducteurs, ils nécessitaient une grande quantité d'énergie électrique qu'ils dissipaient en chaleur. Cette lacune est palliée en 1946 avec la mise au point de l'EDVAC (Electronic Discrete Variable Computer) permettant de stocker les programmes en mémoire (1024 mots en mémoire centrale et 20000 mots en mémoire magnétique).

Le transistor

En 1948, le transistor est créé par la firme Bell Labs (grâce aux ingénieurs John Bardeen, Walter Brattain et William Shockley). Il permet dans les années 50 de rendre les ordinateurs moins encombrants, moins gourmands en énergie électrique donc moins coûteux : c'est la révolution dans l'histoire de l'ordinateur !

Le circuit intégré

Le circuit intégré est mis au point en 1958 par Texas Instruments, il permet de réduire encore la taille et le coût des ordinateurs en intégrant sur un même circuit électronique plusieurs transistors sans utiliser de fil électrique.

Les premiers ordinateurs à base de transistors

En 1960, l'IBM 7000 est le premier ordinateur à base de transistor.
En 1964, l'IBM 360 fait son apparition, avec également l'arrivée remarquée du DEC PDP-8.

Les micro-ordinateurs

C'est en 1971 qu'apparaît le premier micro-ordinateur : le Kenback 1, avec une mémoire de 256 octets.

Les microprocesseurs

En 1971, le premier microprocesseur, l'Intel 4004, fait son apparition. Il permet d'effectuer des opérations sur 4 bits simultanément.
A la même époque Hewlett Packard commercialise la calculatrice HP-35.
Le processeur 8008 d'Intel (permettant de traiter 8 bits simultanément) apparaît en 1972.

En 1973, le processeur 8080 d'Intel garnit les premiers micro-ordinateurs : le Micral et le Altair 8800, avec 256 octets de mémoire. A la fin de l'année 1973, Intel commercialisait déjà des processeurs 10 fois plus rapides que le précédent (le Intel 8080) et comportant 64 ko de mémoire.

En 1976, Steve Wozniak et Steve Jobs créent le Apple I dans un garage. Cet ordinateur possède un clavier, un microprocesseur à 1 MHz, 4 ko de RAM et 1 ko de mémoire vidéo.
La petite histoire dit que les 2 compères ne savaient pas comment nommer l'ordinateur ; Steve Jobs voyant un pommier dans le jardin décida d'appeler l'ordinateur pomme (en anglais apple) s'il ne trouvait pas de nom pour celui-ci dans les 5 minutes suivantes...

En 1981 IBM commercialise le premier « PC » composé d'un processeur 8088 cadencé à 4.77 MHz.

Les ordinateurs d'aujourd'hui

Il est très difficile de nos jours de suivre l'évolution de l'ordinateur. En effet cette évolution suit la loi de Moore (Intel©) : « on peut placer 4 fois plus de transistor sur une puce tous les 3 ans ».
On devrait ainsi arriver à 1 milliard de transistors sur une puce aux alentours de 2010

17 décembre 2008

La mémoire

Désignation

La mémoire vive (RAM) est en opposition à la mémoire morte (ROM) : les données contenues dans la mémoire vive sont perdues lorsque l'alimentation électrique est coupée alors que la mémoire morte conserve ses données en absence d'alimentation électrique. La mémoire morte n'est donc pas volatile, ce qui la rend nécessaire au moment du démarrage d'un ordinateur. En effet, la mémoire vive est dans un état indéterminé et le disque dur est inaccessible lors du démarrage.

Rarement, on utilise le sigle RWM (pour Read Write Memory, soit mémoire en lecture écriture) pour désigner la RAM en mettant l'accent sur la possibilité d'écriture plutôt que l'accès arbitraire.

Les termes RAM et mémoire vive peuvent prêter à confusion car ils ne sont pas utilisés au sens littéral. Littéralement, le terme RAM implique la possibilité d'un accès arbitraire aux données, c'est-à-dire un accès à n'importe quelle donnée n'importe quand, par opposition à un accès séquentiel, comme l'accès à une bande magnétique, où les données sont nécessairement lues dans un ordre défini à l'avance. Or les ROM et les mémoires flash jouissent de la même caractéristique d'accès aléatoire.

Technologie

Une carte mémoire RAM de 4 Mio pour ordinateur VAX 8600 (circa 1986).

Différents types de RAM, de haut en bas : DIP, SIP, SIMM 30 broches, SIMM 72 broches, DIMM, RIMM

La mémoire informatique est un composant qui fut d'abord magnétique (tores de ferrite), puis devint électronique dans les années 1970, qui permet de stocker et relire des informations binaires. Son rôle est notamment de stocker les données qui vont être traitées par l'unité centrale (ou le microprocesseur). La mémoire vive a un temps d'accès de quelques dizaines ou centaines de nanosecondes tandis que celui du disque dur est de quelques millisecondes (dix mille à cent mille fois plus).

La RAM présente la particularité qu'on peut y accéder à la fois en lecture et en écriture. Une activation électronique appropriée permet si besoin de verrouiller temporairement en écriture des blocs physiques donnés. L'adressage d'une mémoire (traduction de tensions électriques sur des fils en adresse mémoire) se fait par un mécanisme nommé le chip select. Il est très facile de munir un microprocesseur d'une mémoire non contiguë (par exemple de 0 à 4 095, puis un trou, puis de la mémoire entre 16 384 et 32 767), ce qui facilite beaucoup la détection d'erreurs d'adressage éventuelles.

Les informations peuvent être organisées en mots de 8, 16 ou 32 bits voire plus. Certaines machines anciennes avaient des mots de taille plus exotique, comme par exemple 60 bits pour le Control Data 6600, 36 bits pour l'IBM 7030 « Stretch » ou le DEC PDP-10 et 12 bits pour la plupart des premiers mini-ordinateurs de DEC, les appareils d'instrumentation travaillant au mieux sur 12 bits à l'époque. Mais :

  • Dans les mémoires à parité, un neuvième bit (dit de contrôle de parité) existe de façon invisible,
  • Dans les mémoires à correction automatique d'erreur sur 1 bit et détection sur plus d'un bit (ECC), ces bits invisibles sont parfois au nombre de six ou plus,
  • Chaque mot des mémoires des serveurs modernes dits non-stop ou 24×365 dispose en plus des bits de correction de bits de remplacement qui prennent la relève du ou des bits défaillants à mesure du vieillissement de la mémoire : une défaillance de 10-11 chaque année se traduit en effet par plus d'un bit défaillant par an sur une mémoire de 128 Gio.

Les fabricants recommandent souvent d'utiliser de l'ECC à partir d'1 Gio de RAM (généralement pour les barrettes utilisées dans les serveurs, permettent de détecter les erreurs et de les corriger).

Il existe également des mémoires associatives.

Divers types de mémoire vive

Mémoire vive statique

  • La MRAM (Magnetic RAM). Technologie utilisant la charge magnétique de l'électron. Les performances possibles sont assez éloquentes, débit de l'ordre du gigabit par seconde, temps d'accès comparable à de la mémoire DRAM (~10 ns) et surtout non-volatilité des données. Étudiée par tous les grands acteurs de l'électronique, elle commence tout juste (juillet 2006) à être commercialisée et devrait prendre son essor à l'horizon 2010.
  • La DPRAM (Dual Ported RAM). Technologie utilisant un port double qui permet des accès multiples quasi simultanés, en entrée et en sortie.

Mémoire vive dynamique

SDRAM

RDRAM

DDR SDRAM

DDR2 SDRAM

DDR3 SDRAM

XDR DRAM

La mémoire dynamique (DRAM, Dynamic RAM) utilise la technique du nano-condensateur. Elle ne conserve les informations écrites que pendant quelques millisecondes : le contrôleur mémoire est obligé de relire régulièrement chaque cellule puis y réécrire l'information stockée afin d'en garantir la fiabilité, cette opération récurrente porte naturellement le nom de « rafraîchissement ».

Malgré ces contraintes de rafraîchissement, ce type de mémoire est très utilisée car elle est bien meilleur marché que la mémoire statique. En effet, la cellule mémoire élémentaire de la DRAM est très simple (un transistor accompagné de son nano-condensateur) et ne nécessite que peu de silicium.

Les puces mémoires sont regroupées sur des supports SIMM (contacts électriques identiques sur les 2 faces du connecteur de la la carte de barrette) ou DIMM (contacts électriques séparés sur les 2 faces du connecteur).

On distingue les types de mémoire vive dynamique suivants :

  • SDRAM (Synchronous Dynamic RAM). Elle est utilisée comme mémoire principale et vidéo. Elle tend à être remplacée par la DDR SDRAM. Pour les machines de la génération Pentium II, Pentium III. On distingue la SDRAM 66, 100 et 133 (fréquence d'accès en MHz). Elle comporte normalement 168 broches.
  • VRAM (Video RAM). Présente dans les cartes graphiques. Elle sert à construire l'image vidéo qui sera envoyée à l'écran d'ordinateur via le convertisseur RamDac.
  • RDRAM (Rambus Dynamic RAM). Développée par la société Rambus, elle souffre notamment d'un prix beaucoup plus élevé que les autres types de mémoires et de brevets trop restrictifs de la part de la société créatrice. Elle est utilisée pour les machines de génération Pentium III et Pentium 4.
  • DDR SDRAM (Double Data Rate Synchronous Dynamic RAM). Utilisée comme mémoire principale et comme mémoire vidéo, elle est synchrone avec l'horloge système mais elle double également la largeur de bande passante en transférant des données deux fois par cycles au lieu d'une seule pour la SDRAM simple. Elle est aussi plus chère. On distingue les DDR PC1600, PC2100, PC2700, PC3200, etc. Le numéro représente la quantité théorique maximale de transfert d'information en Mégaoctets par seconde (il faut multiplier par 8 pour obtenir cette vitesse en Mégabits par seconde, un octet étant composé de 8 bits). Pour les machines de génération Pentium III et Pentium 4. Elle comporte normalement 184 broches.
  • DDR2 SDRAM (Double Data Rate two SDRAM). On distingue les DDR2-400, DDR2-533, DDR2-667, DDR2-800 et DDR2-1066. Le numéro (400, 533, …) représente la fréquence de fonctionnement. Certains constructeurs privilégient la technique d'appellation basée sur la quantité de données théoriquement transportables (PC2-4200, PC2-5300, etc.), mais certains semblent retourner à la vitesse réelle de fonctionnement afin de distinguer plus clairement la DDR2 de la génération précédente. Pour les machines de génération Pentium 4 et plus. Elle comporte normalement 240 broches.
  • DDR3 SDRAM (Double Data Rate three SDRAM). Il s'agit de la 3e génération de la technologie DDR. Les spécifications de cette nouvelle version ne sont pas encore finalisées par JEDEC (Septembre 2006). Les premiers micro-ordinateurs pouvant utiliser la DDR3 sont arrivés sur le marché pour la fin de 2007.
  • XDR DRAM (XDimm Rambus RAM). Technologie basée sur la technologie Flexio développée par Rambus. Elle permet d'envisager des débits théoriques de 6,4 Go/s à 12,8 Go/s en rafale.
16 décembre 2008

Les clés USB

Description et fonctionnement

Icone d’une clé USB

Les clés USB sont alimentées en énergie par la connexion USB de l’ordinateur sur lequel elles sont branchées. Donc, elles ne nécessitent généralement pas de batteries ou de piles. Elles sont insensibles à la poussière et aux rayures, contrairement aux disquettes, aux CD ou aux DVD, ce qui leur donne un indéniable avantage au niveau de la fiabilité. En 2008, les clés commercialisées sont en format USB 2.0. Les clés USB sont relativement standardisées, cependant certaines ne sont pas compatibles avec certains systèmes d’exploitation, nécessitant l’installation d’un pilote.

La capacité d’une clé USB peut varier de quelques mégaoctets à quelques gigaoctets. Au début de 2008, les clés les plus populaires ont 1, 2 ou 4 gigaoctets, et jusqu’à 64 gigaoctets pour les plus chères. La capacité réelle est légèrement inférieure à celle qui est annoncée (voir les explications).

On trouve maintenant des clés USB basées sur des mini disques durs (voir Microdrive). Elles affichent des capacités encore plus importantes pour des prix plus raisonnables. Elles sont aussi alimentées par le bus USB. Par rapport aux clés USB à mémoire flash, leurs débits sont généralement meilleurs, mais les temps d’accès sont plus longs. Elles sont aussi un peu plus fragiles et peuvent chauffer en cas d’utilisation intensive. De plus, leur taille est légèrement plus grande mais elles tiennent toujours facilement dans la poche.

Caractéristiques

Durée de vie

La durée de vie (ou MTBF) de la clef elle-même n'est pas spécifiée et peut tomber en panne au bout de quelques mois comme de quelques années, menant à une perte partielle ou totale des données.

Les constructeurs annoncent une conservation des données pendant au moins dix ans[1], voire beaucoup plus[2]. Computerworld se montre plus réservé et attire l'attention sur les différences importantes existant entre différents modèles[3] dans son article Not all USB drives are created equal. Cette durée vient du fait que la charge électrique stockée qui représente l'information n'est pas parfaitement isolée et peut donc disparaître au bout d'un certain temps, avant lequel il faut effectuer une réécriture pour s'assurer de la conservation des données[4] ; la qualité de l'isolation définira donc la durée de rétention.

Attention à ne pas confondre cette durée de rétention avec la durée de vie de la clef, qui peut tomber en panne ou perdre des données bien avant celle-ci.

La perte de données peut alors être causée par :

  • la rétention des données limitée, due à la Mémoire flash.
  • une panne de la clé, comme tout autre matériel.
  • un problème logiciel au niveau du système d’exploitation.
  • une erreur de manipulation logicielle de la part de l’utilisateur.
  • une erreur de manipulation matérielle ; elle n'est pas indestructible, bien que plus résistante que d'autres supports de stockage.

Dans tous les cas, il est important de procéder à des sauvegardes régulières pour éviter la perte de données.

Performances

Les performances dépendent beaucoup de la conception du modèle, incluant le choix des composants, de l'architecture et du contrôleur mémoire. Des techniques telles que l'amplification d'écriture influent sur les performances[5]. Elles peuvent aussi varier en fonction du système d'exploitation ou du matériel sur lequel elle est utilisée.

Le débit de données varie donc en lecture, en écriture et dépende également du nombre de fichiers copiés et de l'organisation du contenu de la clé. On peut donc avoir des débits de quelques Mo/s à plusieurs dizaines de Mo/s, qui peuvent chuter dans le cas de transfert d'un grand nombre de petits fichiers.

Readyboost

Avec Windows Vista est apparue la certification Readyboost qualifiant une clé USB pour alléger la charge du disque dur au moment du lancement d'un PC (la clé USB n'est pas plus rapide qu'un disque dur, au contraire, mais ne souffre en revanche pas de temps de latence pour l'accès à chaque fichier ralentissant la lecture : le bilan peut donc être positif). Voir l'article concernant ce sujet pour détails.

Variantes

Certaines clés sont couplées avec :

  • un lecteur intégré d'empreintes digitales permettant l'authentification par biométrie du porteur de la clé USB (Brevet d'invention INPI n°FR2833735 (B1) - Philippe GALIPON & Pierre PACARD) ;
  • un lecteur capable de restituer les fichiers musicaux qu’elles contiennent, notamment en format MP3, devenant ainsi des baladeurs numériques miniatures (la clé avec une pile AAA et un écouteur pèse environ 60 grammes) ;
  • un syntoniseur FM, avec éventuellement la possibilité d’en enregistrer le flux dans la mémoire intégrée ;
  • un micro, les sons qu’il capte étant enregistrés dans la mémoire intégrée, faisant alors office de dictaphone ;
  • un indicateur externe permettant d’évaluer quel pourcentage de la mémoire est utilisée.
  • Un lecteur de carte SIM.
  • Il existe aussi des clés USB 3 G+ qui sont des téléphones portables sans touches ni écran ni clavier et possédant une carte SIM qui permettent de se connecter à Internet sans brancher l'ordinateur à la ligne téléphonique. Ce produit est destiné aux utilisateurs d'ordinateurs portables afin qu'ils puissent se connecter à Internet n'importe où.
  • Les clé USB peuvent servir de tunner sur lequel on branche une antenne de télévision pour capter la radio et les chaines de télé comme la TNT ( Télévision Numérique Terrestre, dix huit chaines numériques gratuites captables en France).
  • Certaine clés peuvent émettre et recevoir des infrarouges, pour transmettre et recevoir des informations provenant d'appareil utilisant eux aussi les infrarouges.

On trouve aussi des clés USB dans certains couteaux suisses.

Il est fréquent qu’une clé offre deux partitions, une publique et une dont l’accès est soumis à un mot de passe. La clé peut alors contenir, en toute sécurité, des données confidentielles que l’on tient à garder sous la main (paramètres de connexion, portefeuille de mots de passe, courrier électronique, etc.).

Systèmes d’exploitation compatibles

  • Windows à partir de sa version ME ou 2000 en natif (l’utilisation d’une clé USB nécessite l’installation d’un pilote sous Windows 98 SE);
  • Mac OS 9.1 ou supérieure;
  • Linux avec un noyau ultérieur à 2.4.

Si le firmware le permet, certains ordinateurs ont la possibilité de démarrer une distribution Live, c’est-à-dire un système d'exploitation exécutable depuis un support amovible, à partir d’une clé USB. En 2008, Windows ne sait (ou peut-être ne veut, pour éviter le piratage[réf. nécessaire]) pas le faire.

Lorsque le firmware ne le permet pas, on contourne le problème en démarrant depuis un CD-ROM contenant des pilotes USB permettant à leur tour une émulation de démarrage sur la clé (voir par exemple Flonix). Cette manipulation n’est possible qu’avec un BIOS ou un EFI, et non avec un Open Firmware.

À l’intérieur (64 Mo)

  1. Un connecteur USB mâle (type A).
  2. Un contrôleur Ours Technology Inc. OTi-2168 USB 2.0. Ce circuit implémente le contrôleur pour l’USB 2.0 et assure une interface entre des données transmises linéairement et la structure en blocs de la mémoire flash. Il permet d’éviter la gestion bas-niveau de la mémoire et contient un petit microcontrôleur RISC ainsi qu’un peu de RAM et de ROM. Les données sont transmises au Hynix (n° 4) via un bus de données/adresses sur 8 lignes.
  3. JP1 et JP2 : deux connecteurs avec 10 pins, principalement pour les tests et le débogage.
  4. Hynix Semiconductor HY27USxx121M, mémoire flash qui contient 4 096 blocs indépendants (chacun avec 16 kilooctets), soit 64 mégaoctets au total.
  5. Un oscillateur à quartz SKC Shin Chang Electronics cadencé à 12 MHz.
  6. Une LED pour indiquer l’activité de la clé.
  7. Un interrupteur à deux positions pour protéger la clé en écriture.
  8. Une zone vierge prête à recevoir une autre mémoire flash pour offrir un modèle de 128 mégaoctets sans avoir à créer un autre schéma.

Clé USB sans sa coque protectrice

Autour de ces composants, on peut remarquer des condensateurs et des résistances.

Comparaison avec les autres mémoires de masse [modifier]

Les disquettes ne sont plus guère utilisées depuis 2006, à cause de leur faible capacité (1,44 Mo), de leur lenteur et surtout de leur inconstance. Les disquettes furent longtemps le moyen le plus populaire de stockage externe des fichiers, mais leurs lecteurs n'équipent plus en standard les ordinateurs depuis 2005. Les PC possèdent en revanche une interface USB, car ils sont définis comme tels par les spécifications annuelles élaborées en commun par Microsoft et Intel. Les clés USB sont plus rapides que les disquettes, contiennent plus de données et ne nécessitent pas de lecteur spécifique. Les disquettes subsistent de façon optionnelle pour leur facilité d’utilisation avec d’anciens systèmes d’exploitation (comme Windows 98, qui nécessite l’installation de pilotes pour l’utilisation d’une clé USB) et leur facilité de démarrage. La gestion de l’USB est en effet extrêmement complexe, et donc relativement volumineuse en lignes de code; conséquemment, elle n’est pas encore présente dans tous les BIOS.

Clé USB et logiciels intégrés

Icône de détail Article détaillé : Application portable.

Système U3[

Exemple de clé SanDisk intégrant le logiciel U3

Icône de détail Article détaillé : Clé USB U3.

Certaines clés USB sont équipées du format logiciel U3 créé à l'initiative d'un groupement de fabricants de clés dont les sociétés San Disk et M-Systems: le branchement de la clé fait apparaître, sous Windows, un périphérique de stockage en lecture-écriture, qui apparaît comme un disque dur, et un périphérique en lecture seule, qui apparaît comme un périphérique optique. Les clés U3 contiennent un processeur cryptographique intégré. Cette solution élégante implique en contrepartie l'acceptation d'un risque de sécurité, en fonction du degré de confiance qu'on accorde au constructeur.

Clés standards

L’augmentation de capacité des clés USB permet d’y installer des logiciels et de se déplacer partout avec ses données et ses logiciels préférés. Avec les BIOS actuels(2008), on peut même booter un système complet depuis une clé .

Des sites Web commencent à proposer des « packs préconstruits » de logiciels payants ou en licence libre en version installables sur une clé USB.

Il est courant d'installer une distribution Linux sur clé USB. Il suffit d’extraire l’ISO d’un Live CD (Backtrack, par exemple) sur cette clé et de la rendre amorçable. En revanche, le nombre d'écritures sur une clé USB étant techniquement limité (10 000 à 100 000 selon la technologie de réalisation des cellules), il faut prendre plusieurs précautions si l'on veut l'utiliser en lecture-écriture[6], et en particulier ne surtout pas y placer de fichier d'échange (swap).

Virus et clé USB

Un nouveau type de menace de sécurité a fait son apparition en 2007 à Londres, où des personnes malintentionnées ont délibérément laissé traîner des clés USB contenant des trojans, dans le but d'infecter les ordinateurs de ceux qui les ramassaient.[7]

Key2Key

Depuis Janvier 2009 un nouveau principe de clef USB est apparue sur le marché: Le Key2Key (de clef à clef) la particularité de ce produit réside dans la présence d'un port USB femelle et de deux zones mémoire, TRANSFERT et STOCKAGE. Lors de la connexion d'un K2K avec un Ordinateur il n'y a non plus une fenêtre mais deux qui s'ouvrent correspondant aux deux zones mémoire. Le K2K a donc la possibilité de transférer sa zone de TRANSFERT vers une clef USB classique ou vers un autre K2K. Il n'y a donc plus besoin d'ordinateur pour pouvoir partager des fichiers informatiques.

Apparitions

  • Dans l’émission télévisée Salut les Terriens, créée et présentée par Thierry Ardisson, ce dernier lance les vidéos en connectant une clé USB à un hub. C’est cette connexion qui, en régie, déclencherait le lancement du sujet enregistré.
  • Depuis peu, certains artistes utilisent la clé USB comme support pour leurs albums : ainsi, Brett Anderson, l'ancien chanteur de Suede, a offert son nouvel album Wilderness sous forme d'une clé USB à tous les spectateurs de son concert au Mermaid theatre en juillet 2008.
  • Le 27 septembre 2007, lors du Grenelle Environnement, ce sont des clés USB qui ont été choisies comme support pour le rapport de 1 000 pages qui a été remis par les six groupes de travail au ministre de l’écologie français Jean-Louis Borloo, ceci de manière symbolique, afin de montrer que, par respect pour l’environnement, il est nécessaire d’économiser le papier
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